Malgré les innovations technologiques, la détérioration d'une partie de nos rivières, forêts ou de notre couche d'ozone reste irréversible. Les économistes commencent tout juste à s'en rendre compte, et il aura fallut attendre l’entrée dans le troisième millénaire, avec son lot de catastrophes écologiques et sanitaires, pour que s’opère un réveil douloureux.