Calculé sur 10, l’indice de réparabilité, affiché sur l’étiquette de certains produits, donne une idée de la facilité avec laquelle on peut les réparer. Après son lancement, en janvier 2021, beaucoup d’acteurs ont souligné l’un de ses points faibles : ce sont les fabricants des produits qui attribuent leurs propres scores, et non une instance indépendante. En 2021, le ministère de l’écologie déclarait au Monde compter sur la vigilance du gendarme de la concurrence, la DGCCRF, la direction générale de la concurrence de la consommation et de la répression des fraudes, et celle des associations de consommateurs. Dans une étude parue le 1er mars, l’association Halte à l’obsolescence programmée (HOP) a souhaité vérifier les notes de réparabilité de six produits.