Le projet doit encore être validé par le congrès de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) en mai. Mais c’est un pas de plus vers une surveillance mondiale des gaz à effet de serre, qui sont à l’origine du changement climatique, qu’a franchi l’ONU. Les Nations unies devraient pouvoir coordonner les opérations de surveillance qui existent déjà dans différentes régions du monde.